Canadiens de Montreal

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Les Canadiens de Montréal sont une franchise de hockey sur glace professionnel située à Montréal dans la province de Québec au Canada. L’équipe est membre de la Division Atlantique de l’Association de l’Est dans la Ligue nationale de hockey. Bien que le nom le plus utilisé pour désigner cette équipe soit les « Canadiens de Montréal », son nom officiel est le Club de hockey Canadien, inc.4.

Les « Canadiens » disputent leurs matchs locaux au Centre Bell, connu sous le nom de Centre Molson jusqu’en 2002. Avant 1996, l’équipe était domiciliée au Forum de Montréal, où elle a reçu ses adversaires pendant sept décennies et remporté 22 de ses 24 Coupes Stanley5. Le Forum est considéré comme le véritable temple du hockey6,7,8,9.

Fondés en 1909, les Canadiens de Montréal sont la plus vieille équipe de hockey au monde toujours en activité, sans aucune interruption10,11. Elle fait partie des équipes fondatrices de la ligue avec les Arenas de Toronto, les Sénateurs d’Ottawa et les Wanderers de Montréal et fait également partie des six équipes originales de la LNH, groupe de six équipes s’étant partagé la lutte pour la Coupe entre 1942 et 1967Note 1. Avec ses 24 Coupes Stanley, la franchise est l’équipe la plus titrée de toute l’histoire de la LNH, loin devant les Maple Leafs de Toronto au deuxième rang, avec une récolte de 13 Coupes Stanley.


History of the Organization


Les partisans et la presse utilisent plusieurs surnoms pour désigner l’équipe :

  • le « Canadien » ou les « Canadiens » — diminutifs du nom officiel ;
  • le « Bleu-blanc-rouge » — en référence aux couleurs de l’uniforme de l’équipe ;
  • le « Tricolore » — en raison des trois couleurs présentes sur l’uniforme ;
  • les « Glorieux » — en référence aux Coupes Stanley remportées par le club ;
  • le « CH » — en rapport avec le logo du club ;
  • les « Habs »12 — les « Habitants », donnant l’expression « Go Habs Go ! »13,14 ;
  • le « Grand Club » ;
  • la « Sainte-Flanelle » - en référence à l’ancien tissu dont étaient fait les chandails portés par ses joueurs15 ;
  • les « Flying Frenchmen » - jusqu’à la fin de la dynastie des années 1970-1980, les médias anglophones leur accolaient souvent ce sobriquet, surtout aux États-Unis ;
  • les « Montréal Canadiens » ou « Montreal Canadiens » pour les anglophonesNote 2,16.

Le Club de hockey Canadien a remporté 24 Coupes Stanley, un record de la Ligue nationale de hockey. Il a de plus atteint neuf fois la finale de la Coupe en échouant à remporter le titre. Il détient aussi le record de cinq Coupes Stanley consécutives : de 1956 à 1960. Il est près d’égaler ce record de 1976 à 1979 alors qu’il remporte quatre championnats de suite17. Une seule autre équipe, les Islanders de New York ont remporté 4 Coupes Stanley de suite entre 1980 et 198318.

Les Canadiens de Montréal forment la deuxième équipe ayant remporté le plus de championnats, tous sports confondus en Amérique du Nord, devancés par les Yankees de New York de la Ligue majeure de baseball19. Ils sont également l’équipe la plus titrée de l’histoire du hockey professionnel20. Tout comme les Yankees (au baseball) et les Celtics de Boston (au basket-ball), le Club de hockey Canadien est la franchise la plus légendaire de son sport21.

Lors des dix premières saisons des Canadiens au Centre Bell, le nombre de spectateurs moyen aux matches s’est maintenu au-delà de 20 000 personnes22. Lors de la saison 2006-2007, le club a d’ailleurs égalé son propre record en accueillant 872 193 personnes, ce qui constitue un record pour le plus grand nombre de spectateurs ayant assisté aux matchs en une saison22.

La création de l'équipe[modifier | modifier le code]

Jean-Baptiste « Jack » Laviolette est chargé de former la première équipe du Canadien en 1909.

Le , à la suite d’un différend qui oppose les propriétaires des clubs membres de l’Eastern Canada Amateur Hockey Association et le nouveau propriétaire des Wanderers de MontréalNote 3James Strachan, il est alors décidé de former une nouvelle ligue : la Canadian Hockey Association. Cette association fusionne en 1910 avec la National Hockey Association of Canada, connue en français sous le nom d'Association nationale de hockey. Dans la foulée de cette fondation et sur un conseil de Strachan, Jimmy Gardner, un directeur des Wanderers, et John Ambrose O’Brien ont l’idée d’exploiter commercialement la rivalité entre les anglophones et les francophones de Montréal et d’établir un club de hockey majoritairement, sinon totalement, composé de joueurs d’expression française. Pour ce faire, ils chargent Jean-Baptiste « Jack » Laviolette de recruter des francophones afin de former un nouveau club de hockey pouvant rivaliser avec les Wanderers du quartier McGill CollegeNote 4 Le « Club Athlétique Canadien » est créé le . Laviolette peut alors compter sur l’aide financière d’O’Brien afin de bâtir sa nouvelle équipe et il a alors les moyens de disputer à son ancienne équipe, Le National de Montréal, les meilleurs joueurs francophones du Québec23.

Laviolette ne dispose alors que d’un mois pour recruter sa nouvelle équipe. Il embauche entre autres Didier Pitre, ancien du National24, et Édouard « Newsy » Lalonde25. L’équipe joue le premier match de son histoire dans l'association canadienne de hockey le  contre les Silver Kings de Cobalt à l’Aréna Jubilée de Montréal. L’équipe est alors composée du gardien Joseph Cattarinich, des défenseurs Laviolette et Pitre, Lalonde au poste de maraudeurNote 5, Ed Décarie au centre et Arthur Bernier et Georges Poulin aux postes d’ailiers. Bernier et Lalonde inscrivent chacun deux buts et les joueurs locaux l’emportent 7-6 grâce à un but de Poulin en prolongation26. Le résultat n’est pas pris en compte puisque quelque temps plus tard, la CHA fusionne avec l’ANH et les compteurs sont remis à zéro. Finalement, l’équipe termine à la dernière place de la saison régulière avec deux victoires en douze parties.27.

Un club de joueurs canadiens-français[modifier | modifier le code]

L’équipe du Canadien emprunte depuis ses débuts le nom d’une association de Montréal, le « Club Athlétique Canadien » qui se voit confier une place dans l’ANH. Le club est alors vendu le , au propriétaire de cette association, George KendallNote 6du « Club Athlétique Canadien » pour la somme de 7 500 dollars28,29. Le Club portera alors le nom de l'Association et ce, jusqu'à la fin de la saison 1915-16.

Au cours d’une tournée de promotion du hockey, le Canadien affronte le club de hockey de Chicoutimi le . Le club de Montréal perd sans réussir à inscrire le moindre but face au portier de Chicoutimi : un certain Georges Vézina. Cattarinich, le gardien de Montréal, conseille alors à son président et propriétaire d’engager Vézina à sa place30.

Kennedy s’adjoint les services d’Adolphe Lecours et met sous contrat une grande partie de l’équipe de la saison précédente, permettant ainsi de poursuivre l’objectif d’un club de hockey composé uniquement de francophones. Grâce à Vézina, l’équipe finit en deuxième position du classement avec huit victoires et autant de défaites. Cela n’est pas suffisant pour tenter de remporter la Coupe Stanley et Kennedy change d’entraîneur pour engager Napoléon Dorval. L’équipe réalise tout de même pour cette première saison de Kennedy à sa tête un bilan positif de 4 000 dollars31. Un règlement de décembre 1911 stipule que le Canadien ne peut « employer que des joueurs francophones »32. Bien qu’amendé en 1912 à la suite d'une demande de Kennedy28 pour pouvoir faire signer un contrat à Frank Glass — joueur canadien anglophone mais également ancien capitaine des Wanderers33 — ce règlement mène le Canadien à obtenir, le , « le premier droit sur tout joueur canadien-français se trouvant sur le territoire de la ligue »34.

La première Coupe Stanley[modifier | modifier le code]

Édouard « Newsy » Lalonde est le premier entraîneur de l’histoire du Canadien à remporter la Coupe Stanley en 1916.

En 1911, Lalonde est vendu aux Millionnaires de Vancouver, puis il revient au club la saison suivante pour reprendre son poste de capitaine, retour qui ne fait pas plaisir à Didier Pitre, qui demande, en vain, son transfert de l’équipe. En 1913-1914, Kennedy tente d’envoyer Lalonde une nouvelle fois à Vancouver en retour de Jimmy Gardner. Gardner accepte le transfert et devient entraîneur et capitaine de l’équipe mais Lalonde refuse de retourner à Vancouver. Kennedy envoie donc Pitre à sa place mais lors de la saison suivante, le problème Lalonde n’est toujours pas résolu : ses droits appartiennent à Vancouver mais il refuse toujours de quitter Montréal. Finalement, il est suspendu au début de la saison 1914-1915 mais est réintégré au début de la saison 1915-1916 et est même nommé entraîneur de l’équipe25.

Lors des douze premiers matchs de la saison 1915-1916, l’équipe ne remporte que cinq victoires. La seconde partie de la saison est totalement différente et après une victoire 10-5 contre les Blueshirts de Toronto en février, l’équipe enchaîne pas moins de 11 victoires en 12 matchs, dont les sept dernieres consécutives. L’équipe obtient alors la première place du classement général de l’ANH et se qualifie pour la seconde fois de son histoire pour les séries éliminatoires35. Ils y rencontrent les Rosebuds de Portland de l’Association de hockey de la Côte du Pacifique, ligue concurrente de l'ANH. Même si l’équipe des Rosebuds est intégralement composée de joueurs canadiens23, c’est tout de même la première fois qu’une équipe établie aux États-Unis participe à une finale de la Coupe Stanley.

Tous les matchs sont joués à Montréal, à l’Aréna de Westmount, avec une alternance d’une partie sur l’autre des règles de l’ANH et de la PCHA. Le premier match tourne à l’avantage de l’équipe de l’Oregon avec un blanchissage de la part de Tommy MurrayNote 7. Les deux prochains matchs sont remportés par les Canadiens sur les scores de 2-1 et 6-3. L’équipe de la PCHA remporte le quatrième match non sans difficulté avec une victoire 6-535. Lors du cinquième match, Erskine « Skene » Ronan ouvre le premier le compteur des Canadiens dès la première période du jeu. Le score reste inchangé au cours du deuxième tiers mais finalement au bout de six minutes trente de la dernière période, Thomas Dunderdale redonne l’espoir aux Rosebuds en trompant enfin Vézina. Ce but revigore les joueurs « américains » alors que les Canadiens français semblent au bout du rouleau mais la délivrance vient deux minutes plus tard par un but de Goerge « Goldie » Prodger qui donne le premier titre de champion de la Coupe Stanley de l’histoire des Canadiens de Montréal36.

L’équipe sacrée championne est alors la suivante :


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Test May 26
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Test May 26
Test May , Albania
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Fete nationale du quebec
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Fete nationale du quebec
Montreal, Azerbaijan
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  • Organization Name Canadiens de Montreal
  • Local Office Country Test
  • Local Office City Montreal
  • Number of volunteers/employees 500
  • Affiliated with NHL
  • Organization Type Non-Governmental Organization (NGO)
  • Head Office Country Test
  • Head Office City Montreal
  • Countries of activities Test, USA

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